Alain Diverres a rencontré le conte en 1989 et vous dire que ce fut une révolution pour lui il n'y a
qu'un pas. Depuis le travail oral ne l'a plus quitté, il aime à chercher l'improvisation, la légende n'étant qu'un moyen de faire revivre le présent, ou de le projeter vers le futur… Il puise son imagination dans les trames des contes d'avant, mais il ne peut s'empêcher de les transformer à sa sauce, la sauce armoricaine bien entendu ! Est-ce
vraiment de sa faute si, dans son Léon natal, le grand vizir préfère les ormeaux aux loukoums ?